Comment éviter le burn-out étudiant pendant les concours de médecine
Vous venez à l’instant d’apprendre la bonne nouvelle ! Sélectionné sur Parcoursup, vous entrerez l’année prochaine en L1 PASS ou LAS. Avec, à l’horizon, les fameux concours de médecine. Vous voilà remonté à bloc, votre enthousiasme n’a d’égale que votre motivation débordante ! Vous êtes prêt à tout donner ! Oui, mais voilà. Il existe un piège insidieux, qui se referme régulièrement sur les candidats trop mal préparés : le burn-out étudiant. Quelques astuces doivent être mises en œuvre pour l’éviter, sous peine de vous effondrer en plein vol.
Bien s’entourer, disposer de soutiens pour éviter le burn-out étudiant
Qu’est-ce que le burn-out étudiant ? Il s’agit d’un état d’intense détresse psychologique qui touche les étudiants exposés à de trop lourdes charges de travail, et qui n’arrivent plus à y faire face. Sous l’effet de la pression, la pensée se paralyse, le sens des priorités disparaît.
La motivation des débuts se change en profond découragement mâtiné de pensées sombres, une immense fatigue envahit l’étudiant. Et les chances de voir l’année se clôturer par un succès se réduisent à peau de chagrin.
Première chose à faire pour éviter cela, savoir s’entourer de personnes qui connaissent notre situation. Le soutien familial est important, mais il n’est pas suffisant.
Si vous habitez Paris, une bonne idée pour apprendre à gérer le stress en médecine peut être de s’inscrire auprès d’Antémed Epsilon pour intégrer une classe préparatoire. Il peut s’agir d’une prépa PASS ou d’une prépa LAS, en parallèle de votre L1. Ou bien d’une année préparatoire P0, pour anticiper les principales difficultés de la première année de médecine.
Vous y gagnerez un accompagnement de qualité sur le plan scientifique et méthodologique. Mais surtout :
- Vous travaillerez en petits groupes avec des étudiants aussi motivés que vous, que vous apprendrez à connaître. De quoi mettre en œuvre les principes d’une saine émulation ;
- Un parrain plus expérimenté assurera votre suivi individuel, et vous donnera les astuces qui lui ont permis d’éviter le burn-out ;
- Les équipes pédagogiques vous rencontreront régulièrement pour vous permettre d’ajuster votre méthode. Et de corriger un rapport au travail contre-productif.
Ainsi, une prépa Antémed Epsilon vous permet d’éviter le premier facteur de burn-out étudiant : l’isolement.
Apprendre à structurer son temps en construisant des limites claires
Mais la prépa aide également à lutter contre un autre élément décisif : la difficulté à s’imposer une charge de travail cohérente. Or, comme la première année d’études de médecine se sanctionne par un concours très sélectif, elle réclame une quantité de révision qui peut devenir infinie.
Impossible de ne pas sombrer dans le burn-out étudiant sans apprendre à structurer son temps de manière intelligente. Ce qui suppose :
- La création de plages de travail efficaces mais limitées, pour éviter l’épuisement cognitif ;
- La confection d’un planning organisé par objectifs prioritaires : il faut absolument éviter les to-do lists démesurées !
- L’inclusion de créneaux de repos non négociables.
Là encore, l’expérience d’autres étudiants en médecine sera la bienvenue pour vous aider à créer un emploi du temps bien équilibré.
Prendre soin de soi pour favoriser une bonne récupération pendant les concours de médecine
Eviter le burn-out étudiant pendant les concours de médecine demande enfin de ne pas surestimer ses forces. Comme vous ne pouvez pas attendre que l’année soit terminée pour vous reposer, mettez tout en œuvre pour optimiser votre récupération au quotidien.
- Adoptez les horaires de lever et de coucher les plus réguliers possibles ;
- Limitez votre consommation d’écran le soir pour favoriser un sommeil rapide ;
- Mangez des aliments sains ;
- Une routine physique, même très courte, réduit drastiquement le stress chronique si elle est pratiquée plusieurs fois par semaine ;
- Vous avez 5 minutes en deux cours ? Vive les micro-siestes !
Au principe du burn-out étudiant, on trouve un cercle vicieux impliquant la fatigue, le stress et l’inefficacité. Agir sur l’un de ces trois facteurs permet d’enrayer le mécanisme !

